Résumé :
Depuis la mort de son petit garçon, Julia Evart est inconsolable. C’est à peine si sa fille de cinq ans parvient de temps en temps à lui arracher un sourire. Pour lui faire plaisir, Julia accepte néanmoins de jouer le jeu du "pain de l’amitié". Dans sa petite ville d’Avalon, elle vient justement de faire la connaissance de Madeline, veuve et propriétaire d’un salon de thé, et de Hannah, violoncelliste en plein divorce. Ces quelques grammes de pâtisserie leur apportent un réconfort inattendu, et c’est bientôt toute la ville qui se prend de passion pour cette recette ancestrale... Et si le "pain de l’amitié" cachait des vertus insoupçonnées ?
Mon avis :
Ce livre m’a fait de l’œil pendant un moment, et je me
suis décidée à l’insérer dans mon programme lecture. J’avais cette impression d’une
lecture pétillante, amusante, reposante. Et quelques jours après l’avoir
reposé, j’ai encore un peu de mal à me situer. Je pense que cela vient du fait
que l’histoire n’a pas atteint mes espérances.
Darien Gee nous trace le profil de plusieurs femmes fort
sympathiques, au passé différent, mais semblable sur certains points. Des
douleurs qu’elles ont du mal à panser, et se rencontrer dans le salon de thé de
Madeline leur fera un bien tellement fou qu’elles réussiront à créer une amitié
entre elles. Grâce au salon de thé mais aussi grâce au « pain de l’amitié
amish ».
C’est Julia qui trouvera la poche sur son palier, et c’est
de là que l’histoire partira. S’en suivront tranches de vie, questionnements,
retrouvailles, larmes, naissances d’amitiés, solutions, et, plus que tout :
Solidarité. Et ce sera grâce au « Pain de l’Amitié ».
Pour comprendre ce qu’un pain peut provoquer, il faut
lire ce livre. J’avoue mon scepticisme avant la lecture, et malgré tout ce que
j’ai lu, je me demande encore si cela peut réellement se passer de cette façon,
du moins pour ce qui est du début de l’histoire. Mais j’ai tout de même aimé
entrer dans la vie de ces femmes. Celle qui m’a le plus émue fut Julia. Elle a
perdu son fils à l’âge de 10 ans suite à une piqûre de guêpe. Sa Sœur Livvy l’avait laissé sans surveillance quelques
minutes… Et le résultat fut que Julia ne lui parla plus. Elle s’est coupée du
monde, et principalement de son mari qui l’aime toujours autant, même quelques
années après le drame.
En conclusion, petite déception pour ma part car je
croyais au coup de cœur. Ce n’en fut pas un mais cela reste une lecture très
agréable !
j'ai un peu trop à lire pour le moment, masi peut etre plus tard...
RépondreSupprimerLe résumé a l'air pas mal. Il y a une part d'émouvant avec cette lecture de la perte de son enfant ou ce n'est pas trop accentué ?
RépondreSupprimerBon dimanche