vendredi 16 novembre 2012

La Capitale du Monde d'Ernest Hemingway



108 pages

Gallimard
1 janvier 1950




Le jeune Paco arrive à Madrid avec un rêve : devenir torero. Serveur dans une petite pension de famille, il fait la connaissance d'Enrique qui décide de lui enseigner les rudiments du métier... 
Francis et Margot Macomber, un couple de riches Américains, font un safari de chasse en Afrique. Après s'être enfui devant un lion blessé, Macomber décide de se racheter en tuant un buffle. 
Deux histoires de rêves brisés, deux nouvelles poignantes et passionnées pour découvrir l'univers de l'un des plus grands écrivains américains.


J’avais quelques petites heures à tuer dans les transports en commun. Je me suis décidée à lire un petit bouquin qui me permettrait  de connaître ne serait-ce qu’un minimum Ernest Hemingway.

Ce livre comporte deux nouvelles tirées du recueil "Les Neiges du Kilimandjaro" :
La Capitale du Monde relate de Paco, jeune serveur à Madrid qui rêve d’être torero. Il rencontre un soir Enrique, lui-même torero, qui acceptera de lui enseigner certaines choses.
L’heure triomphale de Francis Macomber raconte 3 personnes faisant un safari de chasse en Afrique. Macomber apprendra à ne plus être lâche et à essayer de se faire respecter par sa femme. A ses dépens…

Je suis restée assez mitigée en terminant la lecture du premier récit. Bien que j’en aie compris le sens, je ne me suis pas sentie très attirée par ce que j’ai lu. Le dénouement était évident, certains rapprochements faits peuvent intéresser, mais cela m’a plutôt laissée indifférente… J’ai de loin préféré la deuxième nouvelle, déjà plus longue (la première faisant 28 pages) et plus intéressante. Notre couple Macomber passe par des tas de sentiments différents, suite à la chasse d’un lion, puis d’un buffle, et là cela a éveillé mon intérêt. Mais l’histoire reste très simple.

Je n’ai rien ressenti de particulier en fermant ce livre. Je l’ai apprécié, mais je ne pense pas que cela soit représentatif de ce que l’auteur a écrit. Je me tenterais bien "Le vieil homme et la mer"…


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